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La République en lutte contre l'Islam

La barbarie islamiste a encore frappé en plein coeur de Paris. De jeunes gens bercés dans l'insouciance et le plaisir ont succombés sous des rafales de kalachnikovs tirées par des fous d'Allah. Le fameux « vivre ensemble » d'une société libertaire et agnostique s'est fracassé contre le principe de réalité, fait de violence et de lutte impitoyable pour la survie. Ces jeunes qui plébiscitent l'ouverture des frontières et l'accueil de l'étranger ont été assassinés par des migrants dont la fureur guerrière s'oppose radicalement à leur angélisme morbide.

Cette attaque contre les symboles d'un Occident en voie de disparition nous interroge sur les raisons structurelles à l'origine du mal. Le terrorisme résulte-il de « l'injustice dans le monde » comme le prétend sans rire un vicaire du diocèse de Tours ? Ou le principe même de l'Islam ne conduit-il pas à une expansion guerrière aux dépends des « infidèles », comme semble le confirmer l'opposition millénaire entre Orient et Occident ? Cette analyse lucide s'avère nécessaire avant d'envisager des mesures efficaces contre le péril islamiste. Nationalisation des mosquées, refoulement des imans étrangers, déchéance de la nationalité, expulsion des islamistes constituent les éléments d'une politique impitoyable contre une barbarie issue du fond des âges.      

L'islam, une religion guerrière et expansionniste

Signifiant « soumission » en arabe, l'Islam a toujours cherché à étendre par la force sa domination, comme l'enseigne Mahomet lui-même. Depuis sa fuite à Médine en 632, Mahomet entreprit une guerre impitoyable contre ses ennemis mecquois, usant de ruse et de cruauté. Vivant de pillages et de razzias, il attaqua de nombreuses caravanes mecquoises, remporta une brillante victoire au puit de Badr, détourna le cinquième du butin à son profit ainsi que le rappelle le nom de la 8ième sourate « le butin ».

Après la bataille perdue du mont d'Ohod, Mahomet tint sa revanche durant la bataille du Fossé à Médine. A cette occasion, il accusa la tribu juive des Banu Qurayza d'avoir pactisé avec les mecquois, et ordonna la décapitation de tous les hommes de cette tribu avant de déporter les femmes et les enfants en esclavage. Il soumit de nombreuses captives comme Marie la copte, détourna Zainab la femme de son fils adoptif et n'hésita pas à mettre dans son harem une petite fille de 6 ans, la fameuse Aïsha. Il imposa son pouvoir par la force, faisant assassiner des opposants politiques comme la poétesse Asma bint Marwan, Ocba ou Kab ibn al-Ashraf.

Censé être parole inaltérée de Dieu transmise par l'Ange Gabriel et disposant donc d'une valeur absolue, le Coran fourmille d'appel au meurtre contre les infidèles :

« Tuez-les partout où vous les trouverez (...) S'ils vous combattent, tuez-les : c'est la récompense de ceux qui sont incroyants (s.2, v.187)»

« Ceux qui ne croient pas aux signes d'Allah (...) porte leur la bonne nouvelle du châtiment douloureux » (s.3, v.20)
»

« Ceux qui ne croient pas à nos signes, nous les brûlerons dans le feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, nous leur donnerons d'autres peaux pour qu'ils puissent sentir le supplice ». (s.4, v.59)
»

La nature même de l'Islam explique l'impossible coexistence harmonieuse avec les autres civilisations. Sa propension guerrière excite les terroristes qui se sentent encouragés par la lecture de la vie de Mahomet et ses exploits guerriers. Nous aurions tort de cacher les racines du mal et d'accepter la pénétration de l'Islam dans nos sociétés béates d'angélisme. Si l'Islam actuel constitue un danger, il convient de l'endiguer par le pouvoir de la loi.

La nationalisation des mosquées

L'Islam politique avance méthodiquement ses pions en construisant des mosquées partout en France et en Europe. Largement financées par l'Arabie Saoudite qui n'applique aucune réciprocité religieuse, ces mosquées relayent une intransigeance wahhabite qui produit au mieux du communautarisme, au pire du terrorisme. Aussi une mesure simple consiste à éradiquer cette expansion islamiste en nationalisant les mosquées. Comme en 1905 où les églises catholiques furent simplement récupérées par l'Etat, la nationalisation des mosquées permet de contrôler les prêches et de fermer unilatéralement les établissements connaissant des dérives. Imposition de la mixité, prêche obligatoire en français, interdiction de toute critique de la société française sont les conditions nécessaires pour maintenir l'ouverture d'un lieu de culte musulman.

En parallèle, un moratoire sur la construction de mosquées permet de limiter l'expansionnisme islamiste. Les mosquées tenues par des salafistes seront détruites, les imans étrangers priés de cesser d'exercer dans des lieux tenus par l'Etat. L'islamisme étant incompatible avec la société française, il est normal que ce dernier soit refoulé intégralement du sol national.   

La déchéance de la nationalité et l'expulsion des islamistes

Les musulmans dits modérés affirment n'avoir rien en commun avec les islamistes qui prêchent l'intolérance et la haine. Dans ce cas, pourquoi défendre leur présence sur notre territoire ? Ne respectant nullement nos traditions millénaires, les islamistes seraient bien plus heureux dans des pays pratiquant l'islam lapidaire. Pour leur bien comme pour le reste de la société française, leur éloignement définitif s'impose.

Toute manifestation directe ou indirecte d'islamisme doit conduire à la déchéance de la nationalité française et l'expulsion du territoire. Concrètement, une femme portant la burqa ou un homme portant la djellaba devront renoncer par écrit à porter ces vêtements ostentatoires sous peine de déchéance et d'expulsion. De même pour toute personne consultant régulièrement des sites djihadistes, refusant de serrer la main à des femmes ou encore diffusant de la propagande islamiste. Bien entendu, tout islamiste classé fiche « S » connaîtra le même sort.

La prière dans les lieux collectifs autres que les mosquées sera interdite, de même que la revendication d'aménagements communautaires dans les écoles et entreprises. Toute rébellion sera impitoyablement sanctionnée, conduisant à la déchéance et l'expulsion de leurs auteurs, même s'il faut créer des apatrides.  

La lutte contre le voile islamique

Plus généralement, la République doit forcer l'Islam à se soumettre à ses lois. L'Islam doit entamer sa révolution copernicienne et devenir une spiritualité touchant le coeur du fidèle et non un processus d'embrigadement qui commence par l'apparence vestimentaire. Le voile islamique, à cause de sa nature ostentatoire et de la division qu'il produit au sein du corps social, doit être combattu pour le bien de tous. Procédant par étapes, il convient de l'interdire dans les entreprises, universités et administrations. Une prise de conscience collective s'avère nécessaire afin de rappeler nos lois face aux provocations communautaires, surtout émanant des plus jeunes.

L'immigration, aliment inépuisable de l'islamisation

Comment est-on arrivé à cette lente pénétration du radicalisme islamiste ? Indiscutablement, la forte présence musulmane résulte de l'immigration massive issue de l'Afrique et de l'Asie que nous connaissons depuis 40 ans. L'immigration est le combustible naturel du communautarisme musulman, donc de l'islamisme qui prospère sur un terreau fécond. Les nouveaux arrivants conservent naturellement leur mode de vie, surtout depuis l'institution du regroupement familial qui favorise la transmission des coutumes exogènes. Dans certaines banlieues, la majorité musulmane rend problématique la coexistence harmonieuse avec les non-musulmans, en particulier avec les membres de la communauté juive.

Les islamistes pensent à juste titre qu'ils ont l'avenir pour eux en raison du rapport de force démographique dont bénéficient leurs coreligionnaires. Pour casser cette folle espérance, il convient donc de rendre impossible ce grand remplacement de population qu'ils convoitent. En clair, il faut inverser les courants migratoires pour préserver notre mode de vie fondé sur l'égalité des sexes, la liberté d'expression et le sens du progrès. Puisse ce dramatique attentat faire prendre conscience aux Français de la nécessité de rompre avec l'angélisme, de refuser l'immigration comme une fatalité et de réaffirmer nos valeurs nationales face à un monde parfois dangereux.

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