> Société > Soumission
Recherche :
Les plus populaires
Newsletter
S'inscrire à la newsletter
Derniers commentaires
Auguste
Il faut effectivement (...)
Auguste
Cette affaire semble mineure (...)

Soumission

D'année en année, la France se soumet à l'islam. L'islam, qui signifie « soumission » en arabe, conquiert méthodiquement notre société pétrifiée de terreur et d'angoisse, usant de pression, de manipulation, parfois même de de violence pour avancer ses jalons et imposer sa loi aux infidèles habitant le « dar El Erb », ou « territoire de la guerre ».

Son action conquérante est facilitée par l'impuissance d'un Occident qui refuse de se battre depuis le traumatisme des deux guerres mondiales. Notre pacifisme et notre obsession du confort nous prive de toute transcendance susceptible de justifier un héroïsme combattant, trahissant la vertu de nos ancêtres qui ont versé le sang dans les tranchées de Verdun. La République n'est plus invoquée pour défendre la patrie en danger, mais pour démembrer une homogénéité nationale minée par des minorités en passe de devenir majoritaires. L'extension illimitée des « Droits de l'homme » permet d'abuser de fallacieuses libertés individuelles pour marquer progressivement un territoire, avant d'en chasser les récalcitrants et autochtones désarmés.     
 
Le birkini, ou la justification implicite de la burka

L'affaire du birkini illustre cette exploitation habile de nos libertés pour étendre la loi islamique sur notre territoire. L'étymologie même du vêtement, contraction de « burqa » et de « bikini », devrait nous alerter sur les arrière-pensées de ses contempteurs. La burqa, cette prison portative pour les femmes, n'est-elle pas interdite en France ? Pourquoi le bikini se réfère-t-il à un outil d'oppression des femmes, sinon pour le justifier implicitement ? Comme souvent chez les islamistes, l'ambivalence permet d'envoyer des signaux apparemment contradictoires à deux catégories opposées de population : la promotion de la burqa et donc de la charia pour les musulmans, l'ingénuité apparente d'un choix vestimentaire pour les non-musulmans.  

La trahison de nos institutions

Les non-musulmans, surtout quand ils sont magistrats, journalistes ou politiques de gauche, semblent avoir surtout compris la version inoffensive du message. L'avis défavorable du Conseil d'état sur les arrêtés anti-bikinis illustre tout l'aveuglement dont sont coupables les gardiens sourcilleux d'une liberté individuelle qui piétine l'exigence d'ordre public et de cohésion nationale.

Alors que les maires, en dépit de leurs limites et de leurs erreurs passées, connaissent la réalité d'un terrain transformé en champ de bataille par les islamistes conquérants, nos théologiens de la religion des Droits de l'homme discutaillent encore sur le sexe des anges, se demandent s'il faut voiler ou dévoiler ces femmes auréolées d'innocence parce qu'exemptes du péché originel de l'homme blanc, enfin se rangent dans le camp des Tartufe en approuvant la dissimulation forcée de ce sein qu'ils ne sauraient voir.

Le mépris de notre culture

La collusion des droits de l'hommistes et des islamistes procède en réalité d'une haine tenace du peuple français, de ses m?urs et de ses coutumes façonnées par l'Histoire, de son rapport au corps marqué par l'héritage gréco-romain et confirmé par l'incarnation chrétienne. La civilisation occidentale a toujours célébré la beauté du corps, et même si les maillots de bain se sont effectivement raccourcis en 150 ans de villégiature à la mer, la tradition occidentale n'a jamais cherché à humilier la femme à cause de sa nature charnelle, de plus la pudeur  fut aussi bien partagée par l'homme que par la femme.

Cette distinction permet d'établir la dangerosité intrinsèque du bikini, à l'inverse par exemple de la soutane ou de la kippa que les femmes ne sont nullement appelées à porter. En effet, le bikini n'est porté que par les femmes, et non par leurs maris, frères ou cousins qui peuvent exposer leur bedaine à l'ardeur du soleil. Le bikini est donc un instrument de ségrégation des femmes, leur liberté d'aller au bain étant conditionné par la dissimulation complète de leur réalité charnelle. Cette ségrégation entre les sexes rentre en contradiction totale avec nos valeurs, d'autant qu'elle se double d'une ségrégation plus grave entre musulmans et non-musulmans.     

Une guerre aux femmes en général, aux femmes occidentales occidentales en particulier

En effet, la censure islamique du corps féminin tranche radicalement avec la nudité des femmes occidentales ainsi renvoyées à leur propre indignité. La nudité devient honteuse quand elle n'est plus partagée, et le regard de l'opprobre change insidieusement pour accuser les femmes occidentales d'impureté. Cette humiliation de la femme en général, de la femme occidentale en particulier, se constate tous les jours dans les banlieues, RER ou fêtes populaires. Les agressions sexuelles de la gare de Cologne, autant que les harcèlements sexuels dont sont victimes les jeunes filles blondes, sont la manifestation d'une vision dégradée de la femme occidentale par de nombreux mâles maghrébins à la conquête de proies désirables et désarmées. Bien évidemment les médias et autorités dissimulent la réalité statistique d'une prédation dirigée contre les femmes occidentales, ainsi en Suède où les chiffres explosifs témoignent d'une barbarie importée dans la bergerie scandinave, de peur « de jeter de l'huile sur le feu ».

Mais l'incendie islamiste n'attend pas pour dévorer notre sécurité et notre modèle de vie. Le bikini, en établissant une frontière claire entre les femmes honorables parce que voilées d'un côté, les « prostituées » ou « filles faciles » de l'autre, contribue à la multiplication des agressions et harcèlements dont sont directement victimes les femmes, chez nous et ailleurs.  

La nécessité d'une loi

L'interdiction totale du bikini s'impose pour rétablir la paix publique, soutenir les maires et protéger le droit des femmes. Bien sûr, cela n'empêchera pas les islamistes d'apporter le fer sur un autre terrain, auparavant les piscines publiques, aujourd'hui les plages, demain peut-être nos universités ou transports en commun. Une réponse globale à l'islamisation devient nécessaire, ce qui suppose de sortir de ce monde absurde de binounours où nous a enfermé une acception rigide des Droits de l'homme, elle-même produite par la Charte européenne des droits fondamentaux.

La reprise en main de notre souveraineté, le rétablissement de l'autorité, la restauration du peuple français comme unique source de légitimité, autant de travaux nécessaires pour consolider nos défenses gangrénées par le relativisme culturel et l'euthanasie démographique. En cette période préélectoral cruciale pour l'avenir de la France, seul le choix d'un parti patriote peut nous sauver d'un islam politique qui nous fait la guerre depuis 14 siècles, et dont les coups de butoir lézardent nos fondations vitales. Face à la menace d'un effondrement généralisé, aucune demi-mesure ou renoncement coupable ne sera toléré.


Commentaires (0) :