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Quand le terrorisme islamiste nous rappelle l'enjeu de cette campagne

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L'assassinat d'un policier sur les Champs-Elysées par des terroristes islamistes nous rappelle que nous sommes en guerre. Cette guerre, longue et fastidieuse, exprime la volonté destructrice d'une idéologie islamiste qui vise à l'anéantissement de notre société occidentale naïve et angélique, prompte à oublier la haine viscérale dont elle est l'objet.

Une menace islamiste qui nous poursuit

Après les attentats de Charlie-Hebdo, du Bataclan ou de Nice, la réalité de la menace terroriste nous poursuit, malgré notre soif obsessionnelle de « vivre-ensemble ». Nous sommes frappés sur la joue droite, mais nous continuons à tendre la joue gauche, travestissant un reliquat de principes évangéliques diffusés par les écrans cathodiques. Malgré les innombrables cierges déposés sur l'autel de l'antiracisme, le terrorisme islamiste redouble d'ardeur et s'introduit au c?ur de la campagne électorale, comme l'atteste le dernier projet d'attentat contre François Fillon.

Au lieu de nommer et combattre clairement l'islamisme, les candidats de gauche préfèrent soit désarmer la police, soit distribuer des récépissés de contrôle policier pour « lutter contre les discriminations », soit pactiser avec l'ennemi en promouvant des personnalités adeptes de la radicalité islamiste comme Mohamed Saou défendu par Emmanuel Macron.

Le quinquennat catastrophique de François Hollande, dont l'ancien ministre et banquier sera le continuateur, a ouvert nos frontières à une immigration massive dont se sert l'Etat islamique pour exporter les terroristes ou tout simplement les agents dormants.

Le communautarisme islamiste, une bombe à retardement

De manière moins spectaculaire mais plus efficace, l'immigration de peuplement renforce le communautarisme musulman en passe de devenir majoritaire, prélude à la sécession de territoires entiers dans le Dar El-Islam.

Quand 29% des musulmans estiment que la charia demeure supérieure aux lois de la République, la question de la solubilité musulmane dans le corps national se pose.

Le général de Gaulle, pourtant peu suspect de pétainisme, confiait à Alain Peyrefitte que les Arabes étaient aussi solubles dans notre société que « l'huile dans le vinaigre », raison pour laquelle il accorda l'indépendance de l'Algérie afin d'éviter que les « Colombey-les-deux-Eglises » ne devienne « Colombey-les-deux-Mosquées ». A notre époque, cette franchise abrupte est susceptible d'envoyer son auteur devant les juges. Ces mêmes juges qui furent bien laxistes au regard du lourd passif de l'auteur de l'attentat des Champs-Elysées, lequel a cherché à tuer plusieurs fois des policiers sans être condamné à de lourdes peines.

Mais cette franchise nous rappelle que le véritable gaullisme était attaché à une France respectueuse de son identité, à l'inverse complet de ceux qui veulent transformer notre pays en espace de consommation sans culture, sans histoire, à moins naturellement qu'elle ne soit coupable de crimes contre l'humanité. Cette volonté de déracinement concorde, même inconsciemment, avec la volonté annihilatrice de ceux qui nos combattent kalachnikovs à la main. Au lieu de s'abaisser pour tenter d'amadouer la bête immonde, les candidats devraient montrer leur résolution inflexible pour défendre ce que nous sommes, en l'occurrence un peuple européen, de culture gréco-latine et de spiritualité judéo-chrétienne.

Les candidats patriotes en mesure de répondre à la menace islamiste

Bien évidemment, seuls les candidats patriotes issus de la droite sont en mesure de mener un combat culturel qui puisse, au-delà des seules réponses sécuritaires, nous faire gagner la guerre contre l'obscurantisme islamiste.

Marine Le Pen est la seule candidate qui bénéficie de cette résolution sans faille. En défendant l'arrêt des courants migratoires, en promettant la sortie de la charte européenne des droits fondamentaux qui limite notre arsenal répressif, en voulant restaurer nos frontières et lutter contre le communautarisme, Marine Le Pen dispose des atouts nécessaires pour engager cette lutte de longue haleine qui prendra des générations.

Certes, beaucoup de sympathisants de droite demeurent réticents face à son programme économique, en particulier la sortie de l'euro. Mais sa promesse de référendum rend très improbable une sortie effective de l'euro, selon les sondages qui montrent un attachement des Français à la stabilité monétaire.

Au contraire, la formation d'un groupe parlementaire FN, composé de personnalités plus libérales sur le plan économique et conservatrices sur le plan des valeurs sociétales, saura fournir à Marine Le Pen cet équilibre entre les différentes composantes de la droite nationale.

Mais pour l'instant, sa détermination, sa cohérence et son amour inconditionnel de la France sont les seules réponses possibles pour remporter la guerre que l'islamisme nous a déclarée.

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