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Les péchés mignons de Macron

macron

D'après un agent de la sécurité à l'Elysée, Brigitte Macron se serait enfermée avec son mari pour le tancer vertement au sujet de ses dérapages verbaux et médiatiques dont le dernier en date consiste en l'affichage ostentatoire avec un braqueur exhibant un doigt d'honneur aux Antilles.

Telle une mère réprimandant les mauvaises fréquentations de son fils, Brigitte peine à maitriser une créature qui cumule les ambiguïtés politiques et psychanalytiques. Son intelligence professorale a permis de faire émerger un jeune premier de classe qui partageait sa passion du théâtre et la culture des apparences, mais « en même temps » son mariage avec un éphèbe de 25 ans plus jeune était porteur de risque : soit son compagnon aurait retrouvé sa liberté après avoir capté son héritage intellectuel, soit ce mariage aurait servi de paravent à une vie sexuelle beaucoup plus tumultueuse que l'ambition et la carrière auraient cherché à dissimuler.

Le fait qu'Emmanuel soit resté avec une vieille fait pencher l'analyse vers la deuxième hypothèse.

Si la dimension transgressive de leur mariage ne fait aucun doute, il reste à montrer comment le couple Macron utilise des symboles qui rassurent la partie molle de l'électorat afin d'inverser les valeurs fondamentales de la société, comme le mariage, l'autorité, la transmission. La vie sexuelle d'Emmanuel, quoiqu'en pensent les médias bien-pensants et les Français habitués à la séparation factice entre vie privée et vie publique, est probablement la clé qui permet d'interpréter ce cas unique de dissimulation politique au service d'un projet de dissolution de la France dans la fournaise mondialiste.

Des rumeurs persistantes


Destinée à étouffer les rumeurs sur internet, la loi sur les fake news coïncide avec la révélation d'une liaison entre Emmanuel et l'ancien président de Radio France, Mathieu Gallet. La bisexualité d'Emmanuel Macron, qui alimente les réseaux sociaux comme les orgies de Dominique Strauss-Kahn alimentaient en leur temps les dîners en ville, semble une réalité peu connu du public tant sa garde rapprochée veille à sa préservation.

Ce sentiment d'immunité médiatique lui permet d'inviter  ses amis intimes à l'Elysée, ainsi les membres d'un groupe de musique afro-homo lors de la fête de la musique. Son goût du scandale le rejoint parfois au sordide, comme l'atteste son amitié avec Pierre Bergé soupçonné de faits beaucoup plus graves. Heureusement la sphère médiatique, toujours prompte à dénoncer les scandales ecclésiastiques, se garde bien de révéler une vie privée particulièrement délurée, d'autant que les journalistes partagent souvent l'intimité des politiques.  

Emmanuel Macron, le héros d'un « film porno gay »?


Mais peut-être en raison de la chute de Benalla chargé de son inviolabilité, Jupiter a cru bon de se jeter sans filets depuis les nuages élyséens,  jusqu'à sombrer dans la moiteur communicante des Antilles. Le naturel reprenant le dessus, il ne put s'empêcher d'exprimer ses tendances profondes pour les amours grecs. Coincé entre deux jeunes antillais torse-nus, l'amateur de citations latines devient tout émoustillé devant la musculature d'un autochtone ruisselant de sueur, n'hésitant pas à l'étreindre chaudement entre les bras et à manifester son plaisir corporel. Se rappelant tout de même qu'il était Jupiter, le président ajouta une note paternaliste en invoquant la mère du délinquant pour l'inciter à la droiture, car on ne dira jamais assez que ces gens idéalisent leur mère.

En voyant ces images équivoques, l'humoriste Fabrice Eboué osa avouer son impression d'assister à un « film porno gay ». Il déclencha la folle colère des députés LREM pour avoir été le seul à voir ce qu'il ne fallait pas voir. Plus grave, l'humoriste révéla une dimension ethnique en estimant que le président était « tout émoustillé par les noirs ». Et effectivement, Emmanuel semble plus attiré par les gros Noirs et les migrants que les petits blancs et  les horticulteurs franchouillards, invitant même ces derniers à dégager de sa vue « en traversant la rue ».

Naturellement les bonnes âmes s'insurgeront contre cette double lecture, sexuelle et raciale, croyant que les tendances privées du président n'ont aucune influence sur sa politique. Ceux qui croient cela n'ont rien compris au film, à supposer qu'il faille comprendre quelque chose à un film porno gay, même présidentiel.

La transgression comme finalité politique


Car tout dans Macron transpire la transgression. Transgression des frontières nationales en invitant massivement les migrants de l'Aquarius, transgression des frontières de la vie en planifiant la PMA pour tous, transgression des normes sociales en déconstruisant la protection des travailleurs exposés à la mondialisation.

Le véritable projet d'Emmanuel Macron est simple à comprendre : loin de préparer notre pays aux défis de la mondialisation économique et humaine, ce qui supposerait une véritable politique industrielle et le redressement de notre natalité, Emmanuel Macron applique les recommandations de Jacques Attali qui veut fondre notre pays dans le chaudron du multiculturalisme, du métissage généralisé, du libre-échange intégral. Son ultra-libéralisme ne reconnaît pas la distinction entre valeurs marchandes et valeurs non-marchandes, entre les nécessités économiques et l'absolu respect de nos racines identitaires.  

Tout se vend, tout s'achète, y compris le ventre des mères porteuses destinées à accueillir les futurs enfants des couples homosexuels dans le cadre de la GPA. Si les Arabes préfèrent racheter massivement nos hôtels particuliers, les Chinois nos terres agricoles, les Indiens notre usines sidérurgiques, le monde entier se presse pour se partager le patrimoine matériel et immatériel de la France, encouragés par le « kost killer » Macron tout acquis aux intérêts des GAFA et à la finance internationale incarnée par Georges Soros.

Comme cet ancien banquier de Rothschild n'a jamais vraiment traverser le boulevard Haussmann pour constater les ravages de la mondialisation, il accuse facilement  les « gaulois réfractaires » au changement et souhaite ardemment leur remplacement par de nouveaux colons acquis à l'empire mondialiste, essentiellement des migrants.  

La culture du « en même-temps », ou la bisexualité politique assumée

Mais cette politique transgressive a besoin de dissimulation pour ne pas choquer une majorité de Français encore attachés à la douceur d'une culture français qu'ils croient bêtement unique. Naturellement les Français sont généralement cocus quand ils s'expriment politiquement, car la politique de haut niveau consiste à habiller commercialement son discours pour répondre aux besoins de puissants intérêts, invisibles à l'homme de la rue. Mitterrand, Chirac ou Sarkozy ont tous conduit une politique différente de celle exprimée lors de la campagne, soit par cynisme, soit par paresse, soit par impuissance.

Mais cette « cocufication » des esprits semble avoir atteint un sommet olympien en la personne d'Emmanuel Macron qui a pour la première fois théorisé le zapping idéologique avec sa culture du « en même temps ». Comme si l'on pouvait être en-même temps de gauche et de droite, favorable à la justice sociale et estimer que la sécurité sociale coûte « un pognon dingue », favorable à la PMA pour tous et s'exhiber aux côtés de Philippe de Villiers au Puy-du-fou, accueillir massivement des migrants qui violent nos lois sur l'immigration et revendiquer une autorité présidentielle précisément destinée au respect des lois.

Les Français ont malheureusement crû à  son image de rénovateur, son physique angélique et son aisance oratoire ayant surtout convaincus les retraités centristes par ailleurs inquiets pour leurs économies en cas de sortie de l'euro. Mais les Français ne pourront se faire léser indéfiniment,  ils demanderont des comptes à tout un système politique et médiatique qui singe le renouvellement pour conduire exactement la même politique déconstructiviste, notamment dans le cadre des prochaines élections européennes.
 
Car Jupiter et ses Eros finiront bien par tomber, remplacés par la lumière de la souveraineté nationale. Ce théâtre indécent, mêlant satyres et grotesques, ne pourra toujours dévier l'attention d'un peuple qui demande le respect son intégrité morale et physique, actuellement menacée par la mondialisation sauvage. Avec son saut dans les Antilles, Manu a probablement fait tomber le masque présidentiel et laisser transparaître sa nudité patriotique.  

 

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