L'exécuteur des basses oeuvres de son maître
Cet homme originaire du Maroc, ancien garde du corps de Martine Aubry, n'est pourtant pas à sa première bavure, ainsi que l'atteste Arnaud Montebourg qui l'avait congédié après un accident qu'il a lui-même provoqué, suivi d'une rixe avec des passants.
Molestant et brutalisant tout ce qui se trouve sur son passage, insultant les policiers qui critiquent ses méthodes, ce chef de la sécurité de Macron durant la campagne avait demandé au parti LREM de se doter de tout un arsenal d'armes à feux, avant que le trésorier ne refuse heureusement cette idée proto-criminelle.
A une autre époque, cet homme aurait sûrement provoqué un carnage. Tandis que son maître multiplie les allusions aux « heures sombres de notre histoire », il s'entoure de spadassins dont le comportement rappelle précisément ces milices que l'orgueilleux président fait semblant de combattre.
Le révélateur d'une macronie qui piétine l'état de droit
Car le coup de pied de Benalla contre le thorax d'un manifestant exprime toute la violence d'un Emmanuel Macron qui n'hésite pas à écraser l'état de droit.
Refusant les services d'une police parfaitement formée pour assurer la sécurité présidentielle, Emmanuel Macron a placé ce parvenu de 26 ans au centre d'un dispositif stratégique qui court-circuite les rapports hiérarchiques normaux au sein de la haute fonction publique. Bien plus qu'un gorille, cet ami intime du président dispose d'une influence à la hauteur des avantages exorbitants dont il bénéficie : appartement de fonction quai Branly, salaire de 7000 euros par mois, voiture de police suréquipée, promotion orbitale d'un grade de lieutenant-colonel de réserve. Macron l'enfourailla même d'un port d'arme autrefois prohibé, preuve qu'il lui accorde une confiance sans limite malgré ses antécédents scandaleux.
L'affaire Benalla est profondément révélatrice du mode de fonctionnement de la macronie, fondée sur des amitiés particulières d'homme à homme qui écrasent les rapports hiérarchiques constitutifs de l'état de droit.
Ce mode de fonctionnement, qui singe les méthodes de management de l'entreprise, pose un problème de séparation des pouvoirs préjudiciable à notre sécurité et notre liberté. En se taisant face aux exactions des amis de Macron, les hautes autorités policières et administratives se font les complices de cette dérive antirépublicaine. Le silence des autorités policières
Car les autorités policières et administratives auraient dû protester officiellement contre les agissements de ce barbouze, elles auraient dû dénoncer son comportement auprès du procureur de la république comme la loi l'exige, mais ne l'ont pas fait en raison de la peur panique qu'inspire ce proche de Macron.
Les agissements de Benalla place de la Contrescarpe sont d'autant plus graves qu'il avait usurpé des habits de policiers et outrepassé son rôle de simple observateur, mais aucun commissaire de police n'a eu le courage de s'opposer à ce proche d'Emmanuel Macron, créant ainsi les conditions du scandale.
La peur de l'autorité présidentielle, qui s'incarne en France sans contre-pouvoir parlementaire réel, favorise un climat de soumission antidémocratique que les médias mainstream ont intégré avec complicité. Et toute voix discordante, comme celle du diplomate français en poste à Budapest qui osa douter par voie confidentielle de la politique française contre Viktor Orban, est aussitôt sanctionnée par son limogeage. Après ce précédent, les diplomates préféreront dissimuler la vérité et mentir à leur maître dans l'intention de lui plaire, ce qui est le début de la tyrannie
De l'interdiction des fakes news à la limitation de la liberté d'expression sur Internet, Macron est l'ennemi de la liberté qui lui déplaît. Car la vérité sur ce personnage risque d'entamer son crédit de renouvellement usurpé durant la campagne, elle risque de révéler le cynisme extrême d'un pur produit d'un système qui multiplie les mauvaises fréquentations.
Du pédophile Pierre Bergé à l'islamiste Belattar
On reconnaît la vérité d'un personnage à ses fréquentations, et les fréquentations d'Emmanuel Macron sont les pires d'un président de la République.
Macron fut l'ami de Pierre Bergé, dont la face hideuse du personnage se déchire à peine tant les médias, en particulier le journal Le Monde dont il était le propriétaire, s'avèrent gênés par la face sombre de ce personnage. Il a fallu les révélations de son ex-amant Fabrice Thomas pour confirmer le fait insupportable qu'il s'adonnait à la pédophilie lors de soirées libertines au Maroc.
Macron est également l'ami de Mohammed Sou, cet islamiste qui a refusé de condamner les attentats de Charlie Hebdo et a soutenu un imam proche d'un terroriste. Au lieu de condamner ce référent En Marche du Val d'oise, Macron osa prétendre qu'il « faisait un travail remarquable ».
Macron est l'ami de Yassine Belattar, ce pseudo-comique islamiste qui a menacé le père d'un soldat tué par Mohammed Merah, et s'adonne à la détestation des français de souche. Au lieu de le recadrer, Macron lui trouve au contraire « du talent ».
D'autres exemples existent, toutes désignent un Emmanuel Macron fasciné par ceux qui violent les règles, franchissent les lignes jaunes, détournent les symboles du pouvoir pour atteindre la notoriété et briller au soleil, quitte à précipiter le bien commun dans les ténèbres. Pur produit du système, mais vrai ennemi de la France, Emmanuel Macron trompe les Français sur sa vraie nature, bien que cette nature disruptive se soit un peu révélée à travers les agissements violents de son ami Benalla, comme l'ombre trahit la lumière.
Car le vrai responsable c'est lui, la violence contre les opposants c'est lui, le dépècement de la France c'est lui.
Doté de la beauté du diable, Emmanuel Macron dissimule encore ses véritables intentions pour notre pays, qu'il rêve de noyer dans un mondialisme sans frontières afin de faire régner le seul pouvoir des riches et puissants.
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