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Le désastre d'une Belgique communautaire

Le laxisme ne protège pas, mais précipite la guerre. Autant en 1940 qu'aujourd'hui, l'aveuglement face aux ennemis irréductibles de l'Occident pénètre les élites converties au pacifisme et au relativisme culturel. A notre époque, l'ennemi n'utilise plus des armées rassemblées derrière des frontières qui n'existent plus, mais frappe directement au c?ur des villes ouvertes à tous les vents mauvais de la mondialisation.  

Les récents attentats islamistes de Bruxelles s'inscrivent dans cette logique d'insurrection susceptible de déboucher sur une guerre civile. Auparavant, les islamistes calculateurs jouaient la carte de la discrétion car le cours des évènements jouait en leur faveur : la Belgique se soumettait au nouvel ordre islamiste instauré à Molenbeek sous la bienveillance des socialistes, les trafics prospéraient dans une Belgique transformée en plaque tournante connectée au reste de l' Europe, le grand remplacement de population en faveur des musulmans donnait aux islamistes l'espoir d'une conquête pacifique d'une ville comme Bruxelles où le prénom majoritairement accordé aux nouveau-nés est celui du prophète Mahomet.

Mais depuis les attentats de Paris qu'ils avaient planifiés, les islamistes de Belgique sont l'objet d'un regain de surveillance qui les irrita au point de précipiter les attentats du métro et de l'aéroport de Bruxelles.

Le remplacement de population à l'origine du terrorisme

Comment en est-on arrivé là ? L'aveuglement des élites belges face aux conséquences désastreuses d'une immigration de peuplement d'origine marocaine est clairement à l'origine de l'implémentation islamiste, terreau fertile du terrorisme et de la criminalité.

Durant les années 70 et 80, les habitants du Rif, région déshéritée du Maroc, immigrèrent massivement dans une Belgique qui les accueillit les bras ouverts alors que l'industrie commençait à fermer ses usines. Les Rifains fuyaient la pauvreté d'une région enclavée ainsi que la francophilie d'un roi du Maroc qui eut toujours du mal à exercer son autorité sur ces montagnards rebelles et arriérés, recourant parfois à la répression.

Les Rifains n'ont jamais admis d'autorité supérieure à la leur. Leur fonctionnement clanique et la culture de l'omerta facilite le développement du trafic de drogue. La culture de l'héroïne dans leurs montagnes constitue une source de revenus considérables. Les immigrés rifains se chargent de passer la drogue via l'Espagne jusqu'en Belgique en usant de grosses cylindrées qui sèment la terreur sur nos autoroutes. La proximité des Pays-Bas, autre pays disposant d'une législation laxiste, confère un débouché naturel à ce trafic lucratif.

Les liens entre le trafic de drogue et l'islamisme sont avérés. A l'inverse d'autres communautés du Maghreb comme les Kabyles d'Algérie, les Rifains sont arabophones et viscéralement attachés à leur religion. A la sortie de prison, les petits délinquants sont recrutés par les islamistes en recherche de financement et d'exécutants. D'après un terroriste du Bataclan, les attentats de Paris ont nécessité le travail de 90 personnes, ce qui suppose une logistique développée, une discrétion héritée du grand banditisme et surtout une multitude de candidats au djihad.   

L'implication d'un aussi grand nombre de complices renforce les soupçons de complaisance d'une partie de la population musulmane. Qu'elle se traduise ou non par l'emploi de la violence, cette communauté est objectivement travaillée par un islamisme hostile, agressif, conquérant et machiste.

Le fantasme de conquête d'une partie des musulmans

Le règne du mâle musulman dans les rues de Bruxelles a déjà été démontré par la jeune journaliste belge Sofie Peeters dont la caméra cachée a recueilli les insultes et les harcèlements alors qu'elle ses promenait seule dans la capitale européenne. A aucun moment les politiques belges ne se sont posé la question du racisme anti-blanc des mâles musulmans qui semblent assimiler une jeune fille blanche en jupe à une esclave sexuelle pour leur harem. En effet, les élites belges sont tellement obsédées par l'antiracisme à sens unique qu'ils oublient la prédation de nombreux immigrés musulmans contre la société belge, femmes en première ligne.

Les atteintes à la dignité de la femme européenne ne concernent pas seulement la Belgique, et l'explosion des viols impliquant des musulmans dans les pays nordiques constitue le point culminant d'un phénomène étouffé par une police sous ordre. Il eut fallu la vidéo courageuse de cette jeune journaliste pour dénoncer la condition de la femme en contact avec un islam agressif, semant l'interrogation dans l'opinion publique.

Les élites belges ont voulu faire croire que les musulmans allaient se soumettre spontanément aux m?urs et coutumes de l'Occident. En réalité l'islamisme se renforce avec le fonctionnement particulier des institutions belges qui promeuvent le communautarisme.

Le communautarisme belge, une habitude dépassée par la réalité


Rappelons que la Belgique est un pays artificiel voulu par les Britanniques en 1830 et réunissant deux grandes communautés, flamandes et wallonnes. Relevant respectivement du monde germanique et latin, ces communautés culturellement différentes doivent leur unité au fonctionnement décentralisé du pays, chaque communauté disposant d'une autonomie leur permettant de vivre indépendamment leur identité.

Déjà mise à mal par le régionalisme, l'unité belge risque de sombrer définitivement à cause d'une troisième communauté encore plus éloignée culturellement que les deux premières, la communauté musulmane. Forte d'1,5 million de membres sur 8 millions d'habitants, cette communauté en forte progression démographique ne peut qu'accentuer les tentations sécessionnistes d'un pays écartelé entre des forces inconciliables.

L'éclatement de la Belgique, une nécessité pour la survie de l'Europe

Les institutions nourrissent le communautarisme, et le communautarisme attise le sécessionnisme, de sorte que l'avenir de la Belgique se pose cruellement. Au lieu de retarder l'éclatement prévisible de la Belgique, le plus sage serait de l'accompagner et de redonner aux flamands et wallons le droit à une autonomie complète. Le retour aux nations culturellement homogènes risque cependant de soulever la question particulière  de la communauté musulmane.

Car le n?ud du problème réside dans la prééminence d'une communauté musulmane pléthorique, naturellement rebelle, culturellement exogène, obéissant à des principes moraux et religieux qui sont en opposition complète avec nos valeurs.

Devant l'impossibilité d'une assimilation complète, le retour au pays de ses membres non intégrables s'impose. L'expulsion des islamistes, l'interdiction complète du voile islamique, l'interdiction des aménagements communautaires dans les écoles, la nationalisation des mosquées, la répression contre toute propagande islamiste permettra d'éliminer la tentation islamiste et d'inciter les récalcitrants au départ.

Plus généralement, l'inversion vigoureuse des courants migratoires pourra atténuer le danger de l'islamisme, terreau naturel du terrorisme. L'exemple belge montre à tous les pays européens, qui souffrent tous des mêmes maux, que seule la restauration impitoyable de nos valeurs pourra faire reculer le danger mortel de l'islam conquérant.

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