> International > Donald Trump ou la victoire du peuple américain
Recherche :
Les plus populaires
Newsletter
S'inscrire à la newsletter
Derniers commentaires
Auguste
Il faut effectivement (...)
Auguste
Cette affaire semble mineure (...)

Donald Trump ou la victoire du peuple américain

Les patriotes français se joignent à l'immense joie des patriotes américains qui voient leurs efforts couronnés par la victoire fulgurante de Donald Trump à la présidentielle des Etats-Unis. Jamais une nouvelle d'outre-Atlantique n'a autant réchauffé le coeur des peuples européens depuis l'engagement américain en faveur de la libération de l'Europe en 1941. Qu'ils soient français, allemands, anglais, autrichiens, russes ou israéliens, les patriotes de tous les pays se félicitent de cet évènement majeur qui ouvre de nouvelles perspectives pour engager le combat contre un mondialisme mortifère.

La rébellion du peuple contre les élites

Cette victoire s'avère d'autant plus spectaculaire que toutes les institutions autorisées s'étaient liguées contre un seul homme qui parle directement au coeur de l'Amérique. Seuls 2% des médias ont défié la pensée unique en soutenant le candidat républicain, contre l'écrasante majorité d'une presse qui milita pour Hillary Clinton. La liberté d'Internet et le recours à Twitter permit de contourner le monolithisme idéologique des médias traditionnels qui se complaisent dans le politiquement correct impulsé par le New York Times et CNN.

Les artistes, qui ratent toujours une occasion de se taire, multiplièrent les insultes contre le candidat du peuple, menaçant même de quitter le pays en cas de victoire. Nos banlieues islamisées seront heureuses d'accueillir Madonna ou Lady Gaga en lutte contre le sexisme supposé de Donald Trump, pourvu qu'elles adoptent la coutume devenue locale de la dissimulation intégrale.    

L'Eglise catholique, qui rêve d'une submersion démographique des Etats-Unis sous le nombre de Latinos, manipulent les consciences en culpabilisant les ouailles rendues inquiètes par l'abolition des frontières. Même le pape François, qui est aussi fin géopoliticien qu'un gaucho amateur de marijuana, détourna son autorité spirituelle en disant une messe à la frontière mexicaine, faisant le jeu des trafiquants et exploitants de tomates.   

Les fonds de pension, les géants du web, les économistes émérites soutinrent tous l'incarnation du système que représente Hillary Clinton, visant la continuation de leurs profits et privilèges contre les angoisses d'un peuple déstabilisé par les deux évènements majeurs des années 2000 : la guerre en Iraq et la crise financière de 2008.

Les élites responsables de la guerre en Iraq

La guerre en Iraq fut le résultat de la plus formidable escroquerie opérée par une collusion d'intérêts entre des lobbies pétroliers et des pays exportateurs de terrorisme. Alors que toutes les preuves convergeaient pour dénoncer le wahhabisme saoudien comme la source idéologique, financière et organisationnelle des attentats du 11 septembre 2001, les politiques américains refusèrent de reconsidérer leur alliance incestueuse avec l'Arabie Saoudite, préférant envahir son voisin héréditaire et accessoirement laïc, l'Iraq.
 
Cette erreur monumentale révéla la suprématie des lobbies en général, pétroliers en particulier, sur la souveraineté du peuple américain. Un petit groupe d'industriels sans scrupule pouvait berner les Américains trop confiants dans leurs médias. Un petit groupe d'islamologues malhonnêtes pouvait mentir sur la nature de l'islam « qui n'aurait rien à voir avec la violence », détournant le regard des Américains sur l'origine du mal. Un petit groupe de moralisateurs médiatiques, dont BHL est l'incarnation parfaite chez nous en France, pouvait entraîner le peuple américain dans la déstabilisation d'un continent entier, diffusant au final le terrorisme et l'immigration sauvage.

L'aventurisme iraquien procède également d'une vision messianique de la démocratie qu'il faudrait imposer par les armes, en raison de son universalisme supposé. Ce même universalisme est à l'origine d'un modèle libre-échangiste qui précipita la crise de 2008.

La crise de 2008 ou la fin d'un modèle libre-échangiste

Techniquement, la crise des subprimes de 2008 fut favorisée par une loi anti-discrimination, l'Affirmative Action Act, censée promouvoir la solvabilité des minorités ethniques dans l'achat de leur logement.

Mais plus généralement, cette crise résulta du déséquilibre d'un modèle américain tourné vers la consommation et l'endettement, au détriment de la production intérieure. La génération d'une dette colossale accentua la dépendance des Etats-Unis vis-à-vis des puissances étrangères, en particulier la Chine. La désindustrialisation et le chômage produisent des effets dévastateurs dans le « Rust Belt », ou ceinture de la rouille, dont les petits blancs minés par l'alcoolisme, l'avortement et la drogue sont les premières victimes.

Car si les souffrances de la classe moyenne blanche passent au-dessus de la tête d'une Hillary Clinton qui ne s'intéresse qu'aux homosexuels, Latinos et musulmans, Donald Trump comprit l'injustice de leur condition et l'angoisse existentielle qui les anime.

Le refus d'un changement de civilisation produit par l'immigration


Car le peuple américain voit bien que les élites leur imposent un changement radical de civilisation au travers d'une immigration massive et sans limites.

Profitant d'une natalité supérieure, les Latinos vont devenir majoritaires en quelques décennies. Cette perspective sa confirma en 2014, première année où les naissances blanches devinrent minoritaires. Ajoutant à l'angoisse d'extinction, une étude de santé publique montra que l'espérance de vie des Blancs avait diminué sous l'effet de la consommation de drogues distribuées par les gangs sud-américains. Les Blancs ont donc raison de craindre un avenir qui promet leur marginalisation, surtout quand leurs difficultés sociales ne suscitent pas la même empathie que pour d'autres minorités ethniques.

Le remplacement de population au détriment des Blancs n'inquiète nullement les élites américaines qui estiment que toutes les cultures se valent et contribuent également à la croissance. En réalité, la richesse d'un pays ne procède pas de ses ressources naturelles mais de ses habitants, de la culture et des valeurs qui les animent. Le changement de population au détriment des WASP signifie que les valeurs culturelles issues du monde anglo-saxon deviendront minoritaires, modifiant profondément le rapport au travail, l'esprit d'innovation et l'excellence technologique dans une société ayant perdu le lien charnel avec ses fondateurs originels. Les Etats-Unis deviendront alors un pays quelconque d'Amérique du sud, écartelé entre une élite protégée dans ses quartiers sécurisés et une masse laborieuse traversée par les rancoeurs ethniques.

Signe de l'indifférence des élites pour la concurrence impitoyable dont souffrent les Blancs en raison de l'immigration massive, 11 millions de clandestins résident sur le sol américain. Ces millions de clandestins narguent l'autorité de l'Etat, contribuent à une criminalité endémique et précipitent la chute du niveau scolaire.

Le danger particulier de l'islam

Alors que les Américains étaient relativement épargnés, la montée en puissance de l'islamisme concerne maintenant les Etats-Unis. Toujours en raison de l'immigration, des étrangers musulmans commettent maintenant des attentats sur le sol américain, ainsi à San Bernardino ou à Orlando. Bien sûr les médias refusent de voir le lien entre terrorisme et islamisme d'une part, islamisme et immigration musulmane d'autre part, mais les américains comprennent mieux que n'importe quel expert, et l'exemple du Liban ou de la France ne les incite pas à l'optimisme. 

Les enseignements pour les patriotes français et européens

L'option la plus pessimiste n'est pourtant pas une fatalité, si les peuples reprennent en main leur destin. La victoire historique de Donald Trump montre que l'espoir reste possible, et que le redressement héroïque des peuples ignorés est même envisageable pourvu que les patriotes de tous les pays s'unissent et agissent contre le mondialisme.

Hier le Brexit, aujourd'hui les Etats-Unis avec Donald Trump, demain l'Autriche avec Hofer, après-demain la France avec Marine Le Pen, autant d'étapes qui dessinent une lente Reconquista de nos territoires perdus, un retour de la nation et des valeurs ancrées dans une histoire millénaire.
 
Homme à poigne, créatif et volontaire, Donald Trump nous éclaire sur le chemin à suivre. Sa pugnacité, son courage, son intuition sont une invitation à la mobilisation pour réhabiliter l'honneur de nos nations amies.

Commentaires (0) :