La mise à l'index des Français de souche
Au contraire, les français de souche ne bénéficient d'aucune reconnaissance particulière des médias, à l'inverse des « minorités visibles » qui concentrent la lumière des projecteurs. Quand Hollande mentionne pour la première fois les natifs de notre pays millénaire, c'est précisément pour se réjouir à l'idée que des français de souche ont commis la profanation d'un cimetière juif alsacien, ce qui suggère paradoxalement que les immigrés sont plus souvent impliqués dans la délinquance en général et les attaques antisémites en particulier. Le président du Crif, par ailleurs acculé à des contorsions communautaires virant à la schizophrénie, appuie lui-même cette analyse objective en affirmant que l'antisémitisme provient essentiellement de jeunes musulmans.
Le transfert des richesses en faveur des immigrés
Comment pourtant expliquer cette haine antijuive alors que les immigrés musulmans profitent de toute l'attention des élites en faveur de leur intégration ? Pourquoi, tels des enfants gâtés de l'assistance publique, des immigrés se rebellent-ils contre un système qui les nourrit, flatte leur sensibilité identitaire, veille à leur insertion comme l'illustre le cas tragi-comique du terroriste Coulibaly qui fut encouragé personnellement par Nicolas Sarkozy dans sa carrière détonante ?
Rappelons que les immigrés profitent directement ou indirectement de la redistribution d'une part importante de la richesse nationale. Les plans en faveur des banlieues engouffrent chaque année des milliards d'euros et les lycées modernes de ZEP dépassent largement les établissements modestes et vétustes de province. Moins diplômés et donc moins aisés que la moyenne des français, les immigrés profitent à fond d'un Etat providence menacé de ruine par l'afflux continuel et massif de nouveaux arrivants cherchant à profiter de la manne publique. La multiplication des HLM, l'attribution gratuite de logements pour les clandestins, l'octroi du RSA sans condition de nationalité, la couverture maladie universelle pour les illégaux, autant d'avantages qui favorisent les immigrés fraîchement arrivés au détriment de l'ensemble des Français invités à renflouer sans broncher une dette publique colossale tout en subissant l'effritement des salaires provoqué par la mondialisation.
Une attention soutenue pour la culture des immigrés
En réformant la politique familiale désormais concentrée sur les familles nombreuses et modestes, autrement dit les familles immigrées d'origine subsaharienne, Hollande choisit clairement le camp des immigrés en défaveur des français de souche. Cette préférence étrangère se manifeste plus généralement dans la promotion discriminatoire de l'identité culturelle des immigrés. La mairie de Paris organise d'importantes festivités pour la rupture du jeûne du Ramadan alors que le carême des chrétiens est passé sous silence. Le président Hollande souhaite tous les ans une bonne fête de l'Aïd aux musulmans, mais ignore superbement la fête de Pâques qui correspond précisément à la fête religieuse principale des Français de souche. A sa décharge, l'Union européenne avalise la relégation de la religion majoritaire en distribuant en 2010 dans les écoles un agenda où figurent toutes les fêtes religieuses juives, musulmanes, indouistes mais pas les fêtes chrétiennes?
Un grand remplacement organisé par le libéralisme mondial
Les Français de souche, et plus généralement les européens d'antique extraction, sont priés de laisser place à de nouvelles populations supposées plus malléables par les prophètes du libéralisme mondial. Assez lentement pour endormir la méfiance des natifs, un grand remplacement de population s'opère sous nos yeux, avec pour objectif évident la déconstruction de l'appartenance nationale, l'abolition de toute frontière économique et sociétale, la mise en concurrence brutale des individus consommateurs réduits à l'impuissance par leurs divisions naturelles.
Mais l'utopie finalement violente d'un monde métissé et indifférencié bute sur des réalités anthropologiques que n'avaient pas prévues les grands prêtres de la finance mondiale : au lieu de se dissoudre dans la religion des Droits de l'Homme, l'homme contemporain reconstitue de nouvelles solidarités communautaires, préférant son coreligionnaire même lointain à son voisin de palier. Démentant les rêves dangereux de Mark Zuckenberg et autres apprentis sorciers du web, les moyens modernes de communication renforcent paradoxalement l'enfermement communautaire : ainsi les antennes paraboliques de banlieue captent les chaînes arabes et les réseaux sociaux permettent la juxtaposition étanche de l'islamiste et du juif orthodoxe sur le même serveur informatique.
Ainsi la nature reprend toujours le dessus, et toute communauté arrachée à sa terre nourricière se reconstitue sur le territoire qu'il colonise. Toute, sauf précisément la communauté des Français de souche.
Le racisme anti-blanc
Tel un village gaulois, les Français de souche sont moralement assiégés par les attaques incessantes des lobbys communautaires excitées par de vieilles rancunes héritées de l'histoire. Alors que chaque communauté bénéficie de la protection d'associations subventionnées par l'Etat, en gros le MRAP pour les magrébins, la LICRA pour les juifs, le CRAN pour les noirs, aucun organisme ne prend la défense des Français de souche perçus comme beaufs et ringards par les élites intellectuelles.
Pourtant les Français de souche souffrent de discrimination et de racisme dans leur propre pays, car comment expliquer leur éviction progressive des zones sensibles à forte majorité immigrée, comment expliquer le mal-être des « bolos » moqués par leurs camarades de classe, comment expliquer l'harcèlement des blondes victimes d'un machisme qui croît avec le recul du droit des femmes ?
Les Français, un peuple de race blanche et de culture gréco-romaine
Le général de Gaulle lui-même affirmait le 5 mars 1959 devant son ami Alain Peyrefitte :
« C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns [...]. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.
Qu'on ne se raconte pas d'histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherez-vous de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées »
Ces propos prophétiques du général, désormais passible d'un camp de rééducation selon les khmers roses de Manuel Valls, démontre la régression idéologique de notre pays soumis à un antiracisme intransigeant. En effet, le général n'interdit pas les rapports amicaux avec des personnes immigrées, ni l'enrichissement ponctuel entre cultures.
Ce que signifie le général, c'est qu'il existe une différence entre le principe de charité chrétienne appliquée à une personne et l'acceptation aveugle de l'installation massive des immigrés en tant que groupe constitué. Tant que les immigrés restent très minoritaires, ils peuvent participer à l'enrichissement d'un pays dont les racines anthropologiques profondes ne sont pas altérées. Le problème survient quand ils deviennent assez nombreux pour modifier en profondeur l'âme du pays et changer radicalement les fondements de notre civilisation, avec des répercussions évidentes sur notre système de valeurs fondées sur l'égalité des sexes, la place de la religion, la liberté d'expression. Le franchissement du « seuil de tolérance », selon les propres mots de François Mitterrand, amène fatalement à la relégation progressive des Français de souche d'autant plus menacés qu'ils n'existent pas d'autres contrées au monde pour les accueillir.
La nécessité de changer de paradigme
Nous sommes à un moment historique où la civilisation occidentale risque réellement de mourir sous l'effet d'une pression démographique exogène, exactement comme l'Empire romain s'est écroulé au Vième siècle en raison d'une dénatalité touchant les romains décadents. Les belles âmes pourront toujours trouver des « wisigoths » ou « vandales » gentils et attachants, mais là n'est pas la question : l'Histoire est un rouleau compresseur qui écrase les faibles et édifie les forts. Avant que l'Europe ne soit plongée dans une crise civile entre communautés hostiles, il convient de réagir et de s'opposer à l'immigration massive que nous subissons. Sinon, les Français de souche seront déracinés de leur terre ancestrale avant d'être jetés sur les bûchers du mondialisme.
|