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Salvini, le sauveur de l'Europe

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Profondément déstabilisée par la submersion migratoire, l'Europe n'a jamais été si proche de l'effondrement. Plusieurs fois dans son histoire millénaire, le rêve utopique d'une Europe unie et pacifiée s'est écrasé contre le principe de réalité d'un monde impitoyable pour les faibles : lors de l'invasion de l'Empire romain par les barbares Huns et Wisigoths qui pillèrent Rome en 410, mais aussi lors de la chute de l'Empire carolingien dont les invasions normandes et sarrasines ont précipité la fragmentation en 843.    

Les fondateurs de l'Europe, chrétiens sociaux et pacifistes laïques, ont pensé que l'expérience tragique de la Seconde guerre mondiale allait immuniser le monde du désir instinctif de domination. Le monde occidental peut-être, mais pas les mondes musulmans ou africains qui échappèrent en grande partie à cette déflagration suicidaire et qui ignorent la mentalité chrétienne de la culpabilisation. A leurs yeux au contraire, ce pacifisme angélique constitue  un aveu de faiblesse et suscite leur irrésistible désir de conquête, dans lignée d'un Abd-Al-Rahman convoitant Poitiers en 732 ou d'un Mehmed II ravageant Constantinople en 1492.

Les migrants nous font-ils la guerre ?

Certaines bonne âmes, formées par les jésuites ou les maçons, parfois les deux à la fois, s'imaginent que les migrants qui débarquent sur nos côtes demeurent remplis de bons sentiments. Ils ne mentiraient pas sur leur pauvreté extrême, après avoir quand même payé environ 3000 euros chacun aux passeurs. Ils ne chercheraient pas à imposer leur religion machiste et rétrograde, ni à créer des colonies immigrées vivant sous la loi d'Allah. Ils ne s'attaqueraient pas à nos femmes pour engendrer un métissage généralisé qui empêcherait toute conscience de notre identité. Ils ne voudraient pas profiter de cette manne incroyable des allocations sociales et familiales qui permettent, cas unique dans l'Histoire, de vivre confortablement en ne faisant rien, à part peut-être d'engendrer des enfants pléthoriques dont les impôts des autres assureront une éducation sommaire.  

Cette idée préconçue est typique de notre époque qui croit en l'existence d'individus déracinés, mus par de simples motifs économiques. Elle dédaigne la nature incarnée de l'Homme, faite d'instincts belliqueux et conquérants. Elle ignore également les rapports de force entre masses, indépendamment des volontés individuelles qui peuvent donner l'impression d'une humanité proche de la nôtre.   

De même, les migrants légaux et illégaux n'ont évidemment pas tous en tête de voler, d'abuser, de violer ou tuer nos populations désarmées, ce serait absurde et grotesque. Mais d'une part, un certain nombre d'entre n'ont pas les mêmes scrupules, comme l'attestent le nombre de jeunes filles allemandes tuées et violées par des migrants.

D'autre part, et c'est beaucoup plus significatif, les migrants demeurent parfois malgré eux l'instrument d'un vaste plan de conquête pensé et conçu par des penseurs islamiques ou tiers-mondistes qui eux, savent très bien ce qu'ils font.

L'immigration, un complot ourdi par les islamo-nationalistes

La preuve de ce complot réside dans le refus des autorités arabes et africaines de réadmettre les clandestins expulsés vers leurs pays d'origine. Les élites politiques de ces pays sont complices d'un trafic lucratif qui flatte le sentiment de revanche contre l'ancien colonisateur blanc. D'ailleurs l'absence de contrôle du taux de natalité, qui avoisine les six enfants par femme dans un pays aussi désertique que le Mali, prouve que les autorités africaines désirent la conquête démographique du monde, au prix même d'un développement gravement entamée par la multiplication des bouches à nourrir.

Aussi ces potentats ferment les yeux sur les transits de clandestins, s'arrangent pour exiler vers l'Europe leurs opposants ou prisonniers de droit commun, fabriquent même parfois de faux papiers pour faciliter des migrations qui leur permet d'externaliser leurs problèmes au lieu de les solutionner.

Le chantage à l'émigration est une arme facile qu'ils brandissent pour exiger davantage de subventions, de transferts de fonds et d'aides au développement. Mais à quoi servent tous ces milliards, sinon à enrichir les élites locales et à étouffer toute prise d'initiative économique ?

Matteo Salvini, l'homme à poigne dont l'Europe a besoin


Dans ce jeu de dupes, seul un homme à poigne peut défendre les intérêts vitaux des Occidentaux. Et le vent de l'espoir semble souffler depuis l'Italie, avec l'accession au pouvoir d'un gouvernement dominé Matteo Salvini, le nouveau ministre de l'intérieur italien.

Le chef de la Liga imprime sa marque sur le gouvernement de Giuseppe Conte, dépassant par son énergie son jeune associé du mouvement 5 étoiles, Luigi di Maio. L'irrésolution économique du mouvement 5 étoiles, ainsi que son flottement sur la question de l'euro, ont réduit les prétentions économiques d'un gouvernement qui fut surtout élu pour lutter contre l'immigration clandestine

Prenant au bond le défi historique d'une Italie en danger,  Matteo Salvini réussit à élargir l'audience d'une ancienne Ligue du Nord étroite et régionaliste pour s'adresser à tous les patriotes italiens, en particulier ceux du Sud. La Ligue est passée d'à peine 4,1% des voix aux élections législatives de 2013 à 17,4% en 2018, et sa popularité croissante lui permettrait d'atteindre les 30% d'intentions de vote si des élections étaient organisées aujourd'hui.

Salvini, un homme qui comprend le rapport de force
 
Or cette popularité procède de sa fermeté sur l'immigration illégale, et son opposition aux trafiquants mafieux qui travaillent en symbiose avec les ONG étrangères, essentiellement allemandes.

Pour casser les flux migratoires, Matteo Salvini refuse que les navires chargés de leurs cargaisons humaines débarquent sur le sol italien. L'Espagne inconsciente du socialiste Sanchez décide de les accueillir, mais pourquoi l'Algérie, qui bénéficie d'une grande richesse prodiguée par  les ressources pétrolières, ne veut pas les recevoir ? D'autant que la plupart des migrants sont musulmans, et se sentiraient plus à l'aise dans ce pays en voie d'islamisation rapide. La question se posait déjà pour l'Arabie saoudite qui refusait l'accueil du moindre réfugié syrien sur son sol, obligeant donc l'Allemagne à subir une colonisation musulmane massive.

Considérant à juste titre que ces migrations forcées relèvent d'un plan de conquête des régimes musulmans contre la civilisation occidentale, Matteo Salvini agit en stratège, non en aide-soigneur. Il exerce le droit naturel d'auto-défense d'une nation que la démographie déclinante rend d'autant plus vulnérable à une submersion migratoire. Il relève le défi historique d'une agression extérieure, par démographie interposée, qui pourrait changer radicalement l'identité de ce pays millénaire, autrefois source de culture, de rayonnement culturel et spirituel pour l'Occident et le monde.

Cette vision lucide manque malheureusement aux vieux politiques européens qui ont clairement manifesté leur impuissance, voire leur complicité, face au danger mortel de l'immigration massive.

Macron isolé en Europe

Car l'arc souverainiste se referme lentement sur les eurocraties béates, en particulier la France et l'Allemagne. Les Hongrois conduits par Orban, les Polonais emmenés par Morawiecki, les Autrichiens gouvernés par Kurz, les Tchèques sous l'impulsion de Babis et maintenant les Italiens de Salivini combattent la prétention hégémonique de Macron d'imposer un modèle mondialiste, multi-ethnique et libertaire pourtant disqualifié par les attentats islamistes, l'insécurité galopante, les crises financières à répétition.

Même le ministre de l'intérieur CSU Horst Seehofer se révolte contre la naïveté évangélique de Merkel, en exigeant que les clandestins illégaux soient systématiquement renvoyés dans leurs pays.

Partout en Europe, les voix du peuple et des formations politiques s'élèvent contre la submersion migratoire du Vieux continent piégé par une interprétation abusive des Droits de l'homme.

L'Europe des Droits de l'homme meurt finalement d'elle-même, victime du propre poison qu'elle engendre en son sein stérile : en refusant la loi naturelle, l'Europe a contribué à son effondrement démographique, et en devenant minoritaire dans le concert du monde, les européens perdent en influence, réduisant ainsi l'attraction exercée par les Droits de l'homme.

Aussi le redressement de l'Europe nécessite un véritable changement de paradigme, incluant l'opposition frontale aux Droits de l'homme, à l'égalitarisme, aux libertés inconditionnelles, au relativisme moral.

Matteo Salvini, par son énergie et son courage, montre la voie aux peuples occidentaux. Dans la lignée d'un Aetuis ou d'un Charles Martel, Matteo Salvini incarne l'espoir d'une renaissance européenne face à aux turbulences d'un monde hostile.

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